Quand deux générations se rencontrent pour monter un projet extraordinaire.
Comme de nombreuses “start-up” californiennes, l’histoire de notre innovation commence dans un garage. Mais ici, pas de jeunes férus d’informatique, pas de prodiges de l’algorithme connectés en réseau derrière leurs écrans multiples !
Il y a seulement Jacques, jeune retraité d’à peine 85 ans, passionné de cyclisme. C’est au fond de son atelier que Jacques Cerdan a patiemment mis au point son prototype de pédalier révolutionnaire.
Il lui a fallu plusieurs années de recherche et la rencontre avec Ludovic Boullet en 2017 pour aboutir à la réalisation du pédalier Cerdan : un pédalier à assistance mécanique !
Au tournant du siècle, profitant de sa retraite, Jacques Cerdan s’est mis à rouler plus régulièrement avec un groupe d’amis. Plus jeunes que lui, ils le distanciaient facilement lors d’une côte, d’une descente ou d’un sprint. S’il prenait beaucoup de plaisir à pédaler avec eux, Jacques était néanmoins frustré d’être à la traîne, d’être toujours le dernier, l’éternelle lanterne rouge! Il a alors cherché des solutions afin d’améliorer ses performances et retrouver ainsi une
seconde jeunesse sportive! Le déclic, il l’a eu à la lecture d’un
article dans Vélo Magazine. Le sujet portait sur le passage du point mort haut* du cycle de pédalage et la perte de puissance qui en résulte. Une obsession va alors naître en lui:, trouver le moyen mécanique de supprimer ce fameux PMH*.
©Sabver
Avec la suppression du point mort, c’est la promesse d’un gain de puissance à chaque coup de pédale!
*PMH, sur un pédalier classique, à chaque rotation, il existe un point mort haut qu’il faut franchir pour obtenir la puissance maximale en phase de poussée.
Cerdan, c’est un peu de l’histoire de l’illustre Marcel qui perdure. Notre inventeur est également le petit neveu de la légende de la boxe. A chaque mouvement de pédalier, c’est un peu de la puissance de son crochet droit qui se retrouve dans le gain d’énergie. Le punch de Marcel au bout des pieds !
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